La banlieue sud est au centre de deux départements, les Hauts-de-Seine et le Val-de-Marne, et de deux territoires de la métropole du Grand Paris. La multiplicité des découpages territoriaux atteint en banlieue une complexité étonnante. La décentralisation s’y frotte à la déconcentration. Aujourd’hui, la banlieue sud est en prise avec des enjeux contemporains liés à la mobilité (ville marchable), au social (ville inclusive) et à l’écologie (ville durable).Le livre “EN BANLIEUE SUD ! Habitants, communes et paysages d’hier et d’aujourd’hui” vous raconte toute l’histoire de la banlieue sud dans de courts paragraphes illustrés. Les liens ci-dessous vous permettront d’en savoir encore plus sur ce sujet.
Le Plessis-Robinson
Vers une mobilité durable
Les déplacements sont inscrits au cœur de nos quotidiens et représentent aujourd’hui un poids considérable de notre empreinte écologique
Vers une mobilité durable
Politique locale du logement et mixité dans l’ancienne banlieue rouge
S’appuyant sur une campagne d’entretiens menés auprès des élus locaux au Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine) et sur une analyse des archives municipales, cet article s’intéresse à la façon dont les politiques locales du logement, dont l’élaboration et la mise en œuvre se font à la rencontre de différents niveaux de l’action publique, agissent sur les évolutions socio-spatiales des espaces populaires. https://metropolitiques.eu/Politique-locale-du-logement-et.html
Ville internet en 2018, Le Plessis-Robinson initie depuis de nombreux projets autour du numérique.
Dans le cadre du projet de modernisation de son infrastructure IT, la direction informatique cherchait une solution allant vers davantage de simplicité et d’efficacité.https://www.wooxo.fr/connaitre-wooxo/temoignages/Sauvegarde/Cas-client-Ville-du-Plessis-Robinson
Le paysage urbain de la banlieue sud est marqué par une grande diversité architecturale et une mixité des habitats caractéristique. Ces paysages mixtes sont témoins du rêve pavillonnaire présent depuis le 19e siècle, de la politique des grands ensembles puis des opérations de renouvellement urbain, ainsi que de l’émergence d’écoquartiers. Les crises du logement du 20e siècle et la résorption des taudis n’ont pas complètement résolu les problèmes de logement et la demande reste forte. La banlieue sud bénéficie également d’une grande richesse associative, visant à favoriser les liens sociaux, notamment dans les domaines de l’éducation, de la culture et de la santé.Le livre “EN BANLIEUE SUD ! Habitants, communes et paysages d’hier et d’aujourd’hui” vous raconte toute l’histoire de la banlieue sud dans de courts paragraphes illustrés. Les liens ci-dessous vous permettront d’en savoir encore plus sur ce sujet.
Annuaire des associations
Découvrez les cent-vingt associations Robinsonnaises qui agissent dans les domaines culturel, sportif, social ou caritatif.http://www.plessis-robinson.com/vie-pratique/vie-associative/annuaire-des-associations.html
Projets de développement au Plessis-Robinson et à Ivry
Au Plessis-Robinson, Les Maçons Parisiens viennent d’être désignés pour construire une opération de 432 logements collectifs.
Ivry et Le Plessis-Robinson : le développement des constructions
Ville « d’autrefois ». La logique du marketing dans le renouvellement urbain du Plessis-Robinson
Le renouvellement du Plessis-Robinson dans les années 1990 a été conçu pour être un succès immobilierhttps://www.persee.fr/doc/aru_0180-930x_2018_num_113_1_3282
La nouvelle cité-jardins
Inaugurée en 2008, la nouvelle cité-jardins conçue par l’architecte Xavier Bohl puise son inspiration dans l’histoire urbaine du Plessis-Robinson et propose une réinterprétation du concept de cité-jardin.http://www.plessis-robinson.com/fr/decouvrir-la-ville/visitez-le-plessis-robinson/patrimoine-bati-du-plessis-robinson/la-nouvelle-cite-jardins.html
La Cité-Jardin du Plessis-Robinson
La Cité-Jardin du Plessis Robinson est construite entre 1924 et 1926. L’Office public des habitations à bon marché du déportement de la Seine (OPHBM) confie la réalisation aux architectes Maurice Payret Dortail, Jean Demay et Jean Festoc qui créent 217 logements pour une population d’origine modeste, sur un terrain accidenté de 9 hectares environ.http://histart.over-blog.com/article-bauhaus-plessis-robinson-116976247.html